Michelin: le palmarès 2019

le plateau final ©Guide Michelin

le plateau final ©Guide Michelin

Le guide Michelin 2019 qui paraitra vendredi recense 632 tables étoilées, dont 75 nouvelles. Un cru plus élevé qu’en 2018 où l’on comptait 621 tables étoilées, dont 57 nouvelles.

Voici le palmarès complet du Guide rouge avec les nouveaux étoilés.

3 étoiles:

Deux établissements sont passés de deux à trois étoiles. Ils rejoignent les désormais 127 restaurants auréolés dans le monde des trois macarons du Guide Michelin :
– Le Clos des Sens de Laurent Petit, à Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie)

Laurent Petit et son épouse © Guide Michelin

Laurent PETIT et son épouse © Guide Michelin

– Le Mirazur, à Menton (Alpes-Maritimes), du chef italo-argentin Mauro Colagreco.

Mauro COLAGRECO Mirazur ©Guide Michelin

Mauro COLAGRECO Mirazur ©Guide Michelin

2 étoiles:

Cinq restaurants sont passés de la 1re à la 2e étoile, rejoignant un club fermé de 82 établissements.

  • A Paris, le restaurant David Toutain
David TOUTAIN ©Guide Michelin

David TOUTAIN ©Guide Michelin

  • La Scène, sous l’égide de Stéphanie Le Quellec.
Stéphanie LE QUELLEC ©Guide Michelin

Stéphanie LE QUELLEC ©Guide Michelin

Trois restaurants installés en région sont dans le même cas :
– AM par Alexandre Mazzia, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
– La Maison d’à Côté, du chef Christophe Hay, Montlivault (Loir-et-Cher)

 

©Guide Michelin

©Guide Michelin

– Le Coquillage de Hugo Roellinger à Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine

Hugo ROELLINGER ©Guid Michelin

Hugo ROELLINGER ©Guid Michelin

1 étoile:

75 restaurants ont été promus, parmi lesquels 68 ont remporté leur premier macarons.

les 68 promus 1 étoile  ©Guide Michelin

les 68 promus 1 étoile ©Guide Michelin

– Jean-François Piège à La Poule au pot à Paris 1er

– Romain Mahi et Ayuni Sugiyama à Accents Table Bourse à Paris 2e

– Keita Kitamura à ERH à Paris 2e

– Gregory Marchand à Frenchie à Paris 2e

– Simone Tondo à Racines à Paris 2e

– Julia Sedefdjian à Baieta à Paris 2e

– Rapahël Rego à Oka à Paris 5e

– Sola Kosube Nabeta à Sola à Paris 5e

– Yoshinori Morie à Yoshinori à Paris 6e

– Tomy Gousset à Tomy & Co à Paris 7e

– Yannick Alleno à L’Abysse au pavillon Ledoyen à Paris 8e

– Indra Carrillo Perea à La Condesa à Paris 9e

– Stéphane Pitré à Louis à Paris 9e

– Guillaume Sanchez à NESO à Paris 9e

– Katsuaki Okiyama à Abri à Paris 10e

– Nobuyuki Akishige à Automne à Paris 11e

– Chiho Kansaki et Marcelo Di Giacomo à Paris 12e

– Nishi Hideki à Pilgrim à Paris 15e

– Chatchai Klanklong à L’Orchidée à Altkirch

– Gaëtan Morvan à Lait thym sel à Angers

– Nicolas Gautier à Nature à Armentières

– Ruben et Pieter De Maesschalck à La Table de Castigno à Assignan

– Franco Bowanee et Karina Laval au restaurant du Château de Vault de Lugny à Vault-de-Lugny

– Florent Pietravalle à La Mirande à Avignon

– Jérémy Czaplicki aux Oliviers à Bandol

– Claude-Emmanuel Robin à L’Allée des Vignes à Cajarc

– Alexandre Fabris à La Signoria à Calvi

– Laetitia et Stéphane Cosnier à Côté Cuisine à Carnac

– Naoëlle D’Hainaut à L’Or Q’idée à Cergy-Pontoise

– Emmanuel Hebrard à L’Ostal à Clermont-Ferrand

– Nolwenn Corre à L’Hostellerie de la Pointe Saint-Mathieu à Plougonvelin

– Sébastien Vauxion au Sarkara au K2 Palace à Courchevel 1850

– Keigo Kimura à L’Aspérule à Dijon

– Julien Hennote au pourquoi pas à Dinard

– Jean-Denis Rieubland Le Royal au Royal Champagne à Champillon

– Laurent Deconinck à L’Oustalet à Gigondas

– Marc Briand à L’Anthocyane à Lannion

– Diego Delbecq et Camille Pailleau à Rozo à Lille

– Takafumi Kikuchi à La Sommelière à Lyon

– Julien Diaz à Saisons à Marseille

– Stéphan Paroche à La Table du Hameau à Paradou

– Nicolas Hensinger à Prima au Chalet du mont d’Arbois à Megève

– Gaëtan Evrard à L’Évidence à Montbazon

– Franck Cerutti au Grill à l’Hôtel de Paris à Monte-Carlo

– Ludovic Pouzelgues à Lulu rouget à Nantes

– Aurélien Largeau à La Table d’à côté à Ardon

– Sébastien Riou à Parfum de gourmandise à Périgueux

– Mathieu de Lauzun à Restaurant de Lauzin à Pézenas

– Virginie Giboire à Racines à Rennes

– Christophe Billau à L’Auberge Quintessence à Roubion

– Antoine Bergeron à La Source à Saint-Galmier

– Guillaume Roget à Brouillarta à Saint-Jean-de-Luz

– José Bailly à La Terrasse à Saint-Raphaël

– Jérémy Scalia au Restaurant de Tourrel à Saint-Rémy-de-Provence

– Jérôme Schilling au Restaurant du Château Lafaurie-Peyraguey à Bommes

– David Sulpice à La Villa de l’étang blanc à Seignosse

– Fabien Fage à The Marcel à Sète

– Guillaume Besson aux Funambules à Strasbourg

– Frédéric Lefèvre à La Carambole à Schiltigheim

– Jérémie Izarn à La Tour des sens à Tencin

– Clément Bouvier à Ursus aux suites du Nevada à Tignes

– Thomas Vanderscher au Cénacle à La Cour des Consuls à Toulouse

– André Taormina à Ambroisie à Saint-Didier-de-la-Tour

– Amélie Darvas à Äponem à L’Auberge du Presbytère à Vailhan

– Frédéric Molina au Moulin de Léré à Vailly

– Antoine Gras à La Table de l’Ours aux Barmes de l’Ours à Val-d’Isère

– Richard Rocle à L’Auberge du Montfleury à Villeneuve-de-Berg

-Jacky Ribault à L’Ours à Vincennes
Les dégradés

Ils passent de trois à deux étoiles.

Avant même la cérémonie, deux grands noms de la gastronomie avaient annoncé avoir perdu ce Graal de la haute cuisine : Marc Veyrat, pour son établissement haut-savoyard, La maison des bois, et Marc Haeberlin, dont L’Auberge de l’Ill, à Illhaeusern (Haut-Rhin), pouvait s’enorgueillir de la distinction suprême depuis plus de 50 ans. Le restaurateur Pascal Barbot, triple étoilé ces onze dernières années pour son restaurant L’Astrance à Paris, a subi le même sort, comme l’a révélé Le Point.

Ils passent de deux à une étoile.

Six établissements ont été rétrogradés de la deuxième à la première étoile. Deux se trouvent dans les Alpes-Maritimes : L’Oasis, d’Alain Montigny et Nicolas Davouze, à Mandelieu-la-Napoule, et La Paloma, de Nicolas Decherchi, à Mougins.
A ceux-là s’ajoutent le Restaurant de Guy Lassausaie, à Chasselay (Rhône), et celui de Thierry Drapeau, à Saint-Sulpice-le-Verdon (Vendée). Le Carré des Feuillants, d’Alain Dutournier, et Taillevent, désormais sous l’égide de David Bizet, à Paris, complètent la liste. A noter qu’à Paris, toujours, le restaurant Histoires, de Mathieu Pacaud, a fermé ses portes.

Ils perdent leur unique étoile..

Le Restaurant à Paris 6e

Le Gaya Rive Gauche à Paris 6e

Garance à Paris 7e

Le 39V à Paris 8e

Le Trou gascon à Paris 12e

Le Saint-James à Paris 16e

La Fourchette du Printemps à Paris 17e

Restaurant Mickaël Feval à Aix-en-Provence

Le Palm Beach à Ajaccio

L’Aubergade à Dury

Les Bas Rupts à Gérardmer

L’Atelier de Gaztelur à Arcangues

Le Moulin d’Alotz à Arcangues

L’Orangerie du Château à Blois

MaSa à Boulogne-Billancourt

Le Bouche-à-oreille à Boutervilliers

Le Pêché Gourmand à Briançon

Le Park 45 à Cannes

L’Auberge du Bon Laboureur à Chenonceaux

La Table by Villa à Calvi

I Salti à l’Île Rousse

La Roya à Saint-Florent

L’Azimut à Courchevel

Le Castellaras à Fayence

La Bergerie à Sarepoil

Le Château de Codignat à Bort l’Étang
Le Marcq à Marcq-en-Barœul

L’Auberge de la Diligence à Loiré

Henri et Joseph à Lorient

Pierre Orsi au Restaurant Pierre Orsy à Lyon

La Maison Clovis à Lyon

Le Carrousel à Maringues

Le Château de Miranbeau à Miranbeau

La Gloire à Montargis

Le Domaine du Colombier à Montélimar

Ar Men Du à Raguenès du Plage

Le Restaurant du Château des Reynats à Périgueux

La Maison Crouzil à Plancoët

Le Grand Hôtel du Lion d’Or à Romorantin

Rackham à Roscoff

L’Hostellerie du Rosenmeer à Rosheim

La Tour à Sancerre

Le Pré Moulin à Sérignan-du-Contat

La Coquerie à Sète

Le Gavroche à Strasbourg

Le Relais de La Poste à Wantzenau

La Maison de Bournissac à Saint-Rémy-de-Provence

Le Belrose à Saint-Tropez

Meulien à Tournus

Les Chênes verts à Tourtour

La Grignotière à Valenciennes

Guide Michelin/laradiodugout.fr/janvier 2019